Il n’y a pas à rougir de notre place de 78ème ex aequo avec des écoles comme Centrale Lille, Mines de Douais ou Alès, l’INSA de Strasbourg et plusieurs Polytech Nantes, Orléans ou Paris-Sud ou l’UTBM. En local, sur la ComUE Paris-Est, l’ESIPE se situe bien loin de l’Ecole des Ponts (16ème) mais proche de notre partenaire en Géomatique l’ENSG (53ème), à égalité avec l’EIVP, l’EI-CNAM et devant l’ESIEE ou l’ESTP :

http://www.letudiant.fr/palmares/palmares-des-ecoles-d-ingenieurs/excellence-academique-2.html

Néanmoins, un classement de l’Etudiant.fr sur critères « voies parallèles » rend plus compte de nos efforts : http://www.letudiant.fr/palmares/palmares-des-ecoles-d-ingenieurs/ouverture-aux-admissions-paralleles.html. L’ESIPE y apparait 4ème paradoxalement derrière l’ESIEE, l’EI.CNAM, l’EI.CESI pour un mauvais score au niveau du nombre de recrutés issus de l’Université alors que nous sommes au sein de l’UPEM. Nuls doutes qu’avec le recrutement initié cette année, avec une dizaine de jeunes provenant de L2 ou L3 sciences physiques, cette dynamique va se poursuivre et nous permettre d’améliorer ce score. Et pour asseoir notre position au sein de la ComUE, une évolution est cours afin de faire passer l’ESIPE du statut d’UFR actuel ver le statut plus autonome d’Institut au sein de l’UPEM. Passage dans quelques semaines au conseil de l’ESIPE et ensuite au CA de l’UPEM en février : nous vous tiendrons au courant !

Premier, nous le sommes clairement sur la mobilité internationale sortante : les efforts engagés depuis plusieurs années portent leurs fruits et plus de 120 jeunes de A2 souhaitent partir à l’étranger en septembre 2017. Actuellement, c’est 72 jeunes de A3 qui passent ou viennent de terminer leur semestre à l’étranger et leurs témoignages sur les réseaux sociaux (https://www.facebook.com/esipe.marne ) mobilisent les suivants … victime de son succès l’ESIPE vient de mettre en place des critères de sélection car malheureusement tous ne pourront pas partir, faute de conventions d’échange en nombre suffisant ou tout simplement pour ne pas dépasser un taux de départ critique qui mettrait en péril la formation de ceux qui restent.